Bon ben pour vous donner une idée du morfale avec lequel je vis. On sort du restau là, après avoir mangé une effeuillée de magrets de canard aux pommes pochées, une poëllée de saint-jacques aux patates, et un pain d'épices aux pommes façon tatin baignant dans du caramel au beurre salé, à peine arrivé à la maison mon gars ouvre le frigo et s'enfile une crêpe, puis une deuxième, puis...
Honnêtement, je crois que la vie à 2 ça va pas le faire. C'est assez difficile quand la bouffe nous fait chier et qu'on souhaite l'oublier, d'avoir le constant spectacle d'un ventre qui se gave :/
vendredi 6 février 2009
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Ce type de goinfrerie est typique de l'archétype du garçon qui vit encore chez sa mère.
RépondreSupprimerMon ex-, même quand il vivait seul comme un grand avait conservé ce rapport compensatoire à la bouffe.
Inutile de préciser à quel point je pouvais me sentir seule lors de soirée apéro - junk food - télé.
(tous les soirs en fait)
><'
Ça a donc commencé par la solitude, la tristesse de sentir à quel point je n'étais pas prise en compte ni soutenue dans mes efforts, et puis assez vite, le dégoût et la rupture.
Mais Dieu (ou n'importe lequel de ses potes) merci, il arrive (si si!) que des petits garçons grandissent et mûrissent !
(Après les crêpes il est passé aux yaourts, devait plus y avoir de crêpes dans le frigo ^^).
RépondreSupprimerAh ben... mon ex était pas l'archétype du garçon qui vit chez maman, par contre il se faisait des repas très gras et copieux. Je n'ai pas encore le recul nécessaire pour évaluer ce qui me tape le plus sur les nerfs. Je vous dirais ça ^^
Concernant le compagnon actuel, il continue de vivre à moitié chez sa maman (c'est quand même son chez lui home sweet home et pour un bail vu qu'il y retourne quand je me casse de l'appart). Du coup je suis pas sûre que ça évolue vite. Mais ça part pas d'un mauvais sentiment, c'est juste que lui il vit bien comme ça et voit pas pourquoi il devrait se priver, ni changer ces habitudes, ni en quoi elles sont mauvaises. Je pourrais tout aussi bien me mettre à son rythme (et devenir obèse).
Je peux comprendre que ça le fasse chier d'arrêter ça sous prétexte que je veux mincir, autant que cela me fait chier qu'il le fasse, chacun pour soi quoi(mais non, tous les couples ne font pas de compromis, y'a des couples chacun pour soi aussi, je sais pas si ce sont les meilleurs mais bref...). Heureusement que je suis trop asociale pour vivre trop de jours d'affilée avec les mêmes personnes, peut-être qu'on peut mettre un place un système "junk food" quand je suis pas là, "stop junk food" quand je reviens.
Mais je suis pas sûre que ça se fasse, parce qu'on peut aussi défendre l'idée que je suis une névrosée et que je devrais être capable de supporter ça sans broncher (car c'est pas grand'chose blablabla)que pourquoi que l'un il ferait plus d'efforts que l'autre et patati... bref.
Bref, ce sont beaucoup de questions qui ne servent à rien , puisqu'elles ne font pas avancer les schmilblick.
RépondreSupprimerQuand on vit avec quelqu'un, on est quand même un peu sensé tenir compte des limites de l'autre.
Et le soutenir du mieux qu'on peut aussi, genre en ne remuant pas le couteaux dans le plaie.
Dans la mesure où l'un n'a pas conscience qu'il fait plus ou moins mal à l'autre, ça peut passer, en expliquant le pourquoi du comment.
Si maintenant, en tout état de cause rien ne change, même un petit peu... il y a un problème.
Enfin moi, je dis ça, je dis rien...